Читать книгу L'Académie nationale des sciences, belles-lettres et arts de Lyon. Compte rendu, discours, mémoires divers онлайн

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Dans la classe des lettres, M. Bleton présenta le rapport de la section de littérature, éloquence et poésie; M. Pariset, celui de la section d’histoire et antiquités; M. Rougier, celui de la section de philosophie, morale, jurisprudence, économie politique, et enfin, M. Sainte-Marie Perrin celui de la section des beaux-arts.

M. Vachez, secrétaire général, fut chargé de l’introduction, dont les éléments devaient être empruntés soit à la correspondance de Brossette avec Boileau, soit à celle de l’un des fondateurs de l’Académie, le président Dugas, avec son parent Bottu de Saint-Fond, membre de l’Académie de Villefranche, avant de devenir membre de l’Académie de Lyon.

En même temps, M. Morin-Pons préparait généreusement, à ses frais, la publication d’un beau volume, orné de planches et consacré à la Numismatique de l’Académie.

Sans relâche et avec un soin attentif et infatigable, la Commission du Centenaire s’attacha à remplir la mission qui lui avait été confiée. Dès le 15 décembre 1899, elle décide que la date des deux jours de fête était fixée au 29 et au 30 mai 1900. Peu de jours après (27 décembre), M. Ollier qui, dans la séance du 5 décembre, venait d’être appelé aux fonctions de Président de la classe des sciences et, par cela même, chargé de présider les fêtes du Centenaire, annonçait que, sur sa demande, M. le Maire de Lyon avait mis gracieusement à la disposition de l’Académie la salle des fêtes de l’Hôtel de Ville, pour les deux réunions publiques du 29 et du 30 mai 1900.

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