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Convenablement entretenues, blanchies tous les ans, ayant les abords en harmonie avec l’édifice, elles révèlent comme maîtres des agriculteurs sans doute, mais aussi des hommes ayant le souci de leur dignité et de la santé de leur personnel.

La cure.

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Dans ses Etudes sur l’ancien diocèse de Saintes, l’abbé Cholet dit: «Montpellier, cure, droit de patronage exercé par l’abbé de Baignes du XIe au XVIIe siècle.»

C’est en vain que nous avons cherché la référence où l’abbé Cholet, d’ordinaire exact, s’était documenté. Nous n’avons rien trouvé.

Par contre, les différents pouillés, consultés à ce sujet, sont unanimes à désigner l’évêque de Saintes, comme collateur de la cure de Montpellier.

Ainsi Alliot, dans son Bénéfices de l’Evêché de Saintes (1527) dit: «Montpellier, cure, évesques de Saintes présente et confère.»

Lacurie, dans son Pouillé manuscrit , désigne également l’évêque de Saintes.

Il donne même le revenu de la cure qui, d’après lui, aurait été


Enfin l’abbé Bonnerot, dans son Pouillé manuscrit, donne aussi l’évêque de Saintes comme collateur; l’abbé Bonnerot enregistre un revenu de 1.500 livres pour l’année 1782; seulement il fait relever cette cure de l’archiprêtré de Corme-Royal, tandis que, d’après l’abbé Cholet, elle relevait de l’archiprêtré d’Arvert.

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