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L’hiver, il est blanc de givre, tandis que, l’été, son épais feuillage sert de refuge à quantité de moineaux qui, justement parce que c’est un arbre de la Liberté, y établissent leurs nids sans crainte des représailles.

Cet arbre, d’une hauteur de vingt-six mètres, a un tronc d’une circonférence de 4 m. 25 à la base; de 3 m. 25 à hauteur d’homme et de 2 m. 55 à 5 mètres de hauteur.

Il date de 1792 et, à ce titre, il mérite d’être surveillé et protégé par l’autorité municipale, car il doit être un des rares survivants de cette époque, ayant échappé aux investigations de la Restauration (1815-1830) et de Léon Faucher, ministre de l’intérieur (1848-1849), qui firent rechercher avec soin les arbres de la Liberté et donnèrent des ordres pour qu’ils fussent arrachés.

L’ARBRE DE LA LIBERTÉ.


En 1896, le conseil municipal y fit placer une plaque commémorative, portant l’inscription ci-dessous;

PLAQUE

DÉDIÉE PAR LE CONSEIL

MUNICIPAL LE 14 JUILLET 1896

POUR PERPÉTUER LA DATE

DE LA PLANTATION DE

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