Читать книгу Monter et dresser les chevaux : , remise en lumière par son élève. D'après la méthode de feu le comte de Lancosme-Brèves онлайн

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Quant à la troisième République, elle pouvait prendre sur le budget monstrueux dont elle gratifie la pédagogie, les sommes nécessaires pour organiser et construire des écoles d’équitation.

On aurait pu utiliser tout d’abord les chevaux de remonte qui mangent l’avoine dans les dépôts en attendant leur emploi et dresser des chevaux pour les officiers généraux et les officiers supérieurs d’infanterie.

Enfin, les peintres, les sculpteurs, les architectes, les acteurs, les chanteurs, les danseurs ont des écoles; l’escrime en possède une de date récente, et voilà les bataillons scolaires!

Si l’équitation, qui est un art relevé, n’a pas d’école, c’est parce qu’il est lié par l’histoire à l’ancienne société ; il rappelle la chevalerie, la Monarchie, que la République et tous ses servants sont sortis de l’ordre pédestre.

Les considérations que nous venons d’analyser rapidement sur la décadence de l’équitation en France nous ont conduit à relater pour les cavaliers les leçons que nous avons reçues pendant près de vingt ans d’un illustre écuyer, feu le comte de Lancosmes-Brèves.

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