Читать книгу Manuel du bon fermier: Cours théorique et pratique d'agriculture онлайн

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Évitez donc toute recherche sur une plus ample distinction de terre; vous avez là un fondement suffisant d’opérations. Si vous en demandez davantage, vous ne saurez plus où vous fixer, parce que ces divisions s’étendant depuis la terre la plus forte, la plus grasse, jusqu’à la plus légère, on ne peut et on ne doit rien rechercher de plus.

On n’aura qu’à labourer profondément les terres fortes, par un temps convenable, et les terres légères par un temps un peu humide; donner à chacune de ces terres les cultures et les engrais qui lui sont propres, on verra que toutes les récoltes réussiront, et que le travail sera toujours amplement payé.

En principe, vous vous rappellerez que plus les terres sont mucilagineuses, plus elles contiennent de principe de vie, moins elles s’effritent par les labours d’été et par l’abondance des récoltes qu’elles produisent. Cependant, malgré toutes ces perfections, le cultivateur intelligent aura toujours soin de les conserver dans cet état de faveur par les engrais ou le repos.

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