Читать книгу Marcel Proust, an English Tribute. The Portrait of the Man written by the People Who Knew him the Best онлайн

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On devrait bien tirer son portrait en ce moment. Il a tout des enfants. Vous ne vieillirez jamais. Vous avez de la chance, vous n’aurez jamais à lever la main sur personne, car vous avez des yeux qui savent imposer leur volonté....

This was the same Céleste who devoted her life to his service for many years and was with him to the last. After his death she wrote of him: “Monsieur ne ressemblait à personne. C’était un être incomparable—composé de deux choses, intelligence et cœur—et quel cœur!”

Knowing the intensity of his interest in and sympathy with humble lives, the suggestion of snobbishness in connexion with such a man is ridiculous. Proust, like all great artists, needed access to all human types. It is one of the drawbacks of our modern civilisation that the opportunities for varied social intercourse are limited and beset with conventional prejudices. No man went further than he did to surmount these. He knew people of the “monde” as he knew others. As he writes in Sodome:

Je n’avais jamais fait de différence entre les ouvriers, les bourgeois et les grands seigneurs, et j’aurais pris indifféremment les uns et les autres pour amis avec une certaine préférence pour les ouvriers, et après cela pour les grands seigneurs, non par goût, mais sachant qu’on peut exiger d’eux plus de politesse envers les ouvriers qu’on ne l’obtient de la part des bourgeois, soit que les grands seigneurs ne dédaignent pas les ouvriers comme font les bourgeois, ou bien parce qu’ils sont volontiers polis envers n’importe qui, comme les jolies femmes heureuses de donner un sourire qu’elles savent accueilli avec tant de joie.

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