Читать книгу Souvenir de Mme Marguerite François 1885-1914 онлайн

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Lorsque je pense à elle, je retrouve une des personnes les plus vivantes, les plus pleines d’entrain et de charme qu’il m’ait été donné de rencontrer.

D’un ami genevois, le professeur H. R.:

Mme François avait l’âme si chaleureuse, elle possédait une telle richesse de vie intense et généreuse, que sa mort, nous tous qui étions à Bursins le sentions, creusait un vide immense, béant, dans le cœur de chacun.

D’un autre, l’avocat G. W.:

Nous étions de ceux qui pensaient que sa présence à Genève était une joie et une force.

D’un autre, le professeur M. Du P.:

J’ai assez connu celle que vous pleurez pour sentir ce qu’il y avait en elle de bonté, de grâce et d’élévation; il y avait tant de douceur, tant de sincérité dans tout son être!

D’un autre, l’avocat A. P.:

... cette belle et noble nature dont on ne savait oublier l’accueil et le geste et qui savait si bien comprendre et soutenir.

D’un autre, M. Ch. G.:

Tant de dons, si remarquablement réunis en elle, avaient donné à sa vie une ampleur qui frappait du premier coup.

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