Читать книгу Souvenir de Mme Marguerite François 1885-1914 онлайн

10 страница из 18

D’une autre, Mme H. G.:

J’ai si souvent admiré sa belle intelligence si éclairée et en même temps si féminine; je savais aussi les trésors de tendresse qu’elle avait pour ses enfants...

D’une autre, Mme M. Ch.:

J’avais une vraie sympathie pour elle et une profonde admiration pour ce caractère et cette intelligence si remarquables.

D’une autre, Mme J. M.:

Je l’aimais tant, j’avais tout de suite éprouvé une si grande sympathie pour elle. Je ne peux croire que sa vie si rayonnante a disparu pour tous ceux qui l’aimaient...

D’une autre amie genevoise, Mlle B. J.:

Dire qu’elle n’est plus, Marguerite, l’incarnation de la vie, un cœur et une intelligence pareils!

D’une autre, Mlle E. H.:

Je ne puis presque pas croire que ses beaux yeux au regard si profond et pur soient fermés.

De son amie intime, Mme M. L.:

... cette merveilleuse joie dont elle savait illuminer ceux qui l’approchaient, et qui soudain, à son contact, sentaient avec reconnaissance toutes leurs facilités développées, leur force de vie multipliée, leur vision du monde élargie. Nous l’aimions, n’est-ce pas, pour d’innombrables motifs; mais l’espèce de culte que nous avions pour elle, tenait surtout de ce que plus peut-être qu’aucun être que nous connaissions, elle avait le don de créer la vie, une vie intense et complexe et toujours frémissante...

Правообладателям