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Alimentation.

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Si le régime alimentaire de nos grands-pères n’était point aussi varié que le nôtre, il était aussi bien plus sain.

Du pain de méture, de la bouillie de maïs, les légumes du jardin, le lait de la vache ou de la chèvre, les produits de basse-cour et la viande du porc, voilà quel était leur menu.

Si nous ajoutons qu’ils avaient du vin d’où étaient exclus le soufre et le sulfate de cuivre, l’on ne sera plus étonné de la robustesse de leur tempérament et de leur résistance aux maladies qui nous assaillent et qui leur étaient inconnues.

Actuellement, la campagne, comme la ville, est inondée de produits manufacturés, conserves et denrées, véritables produits chimiques qui délabrent nos estomacs et ruinent nos santés.

Vêtements.

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Nos vieillards, qui ne subissaient pas comme nous les caprices de la mode, trouvaient aux villages tous les éléments nécessaires à leur toilette. Non seulement la laine de leurs moutons leur fournissait bas, chaussettes et gilets, mais encore une étoffe appelée cadis et qui servait à confectionner les habillements d’hiver; quant aux costumes d’été, ils étaient pris dans la pièce de toile du tisserand.

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