Читать книгу Resilience. Persistence and Change in Landscape Forms онлайн
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26 ssss1 ...de nombreuses transformations [qui] sont intervenues pendant une période parfois longue de plusieurs siècles et qui ont changé la forme primaire dans une mesure qui rend la reconstitution nécessaire, laborieuse, difficile et le plus souvent même partielle...
27 ssss1 En vertu du critère “d’usure apparente” utilisable dans les séries morphologiques, la structure qui présente l’apparence la plus usée risque d’être la plus ancienne. Dans une même série, on peut ranger les objets par ordre de netteté décroissante : les structures pouvant être plus moins fraîches, plus ou moins dégradées dans le temps et rendues comme fantomatiques...
28 ssss1 In the 2000s, the author developed a contrasting idea that medieval and modern habitats play a key role in the maintenance of ancient forms (ssss1).
29 ssss1 For a critical assessment of these methods, see Chouquer (1994) and Favory (1997).
30 ssss1 [...] le fatalisme historique a pour base l’assimilation de la ville à un être vivant. La ville, dit-on, est un être vivant et, comme tous les êtres vivants, elle naît, elle grandit, elle meurt ; elle est tour à tour enfant, adolescent, vieillard. La comparaison, que j’ai longtemps acceptée moi-même, ne serait-ce que dans la première édition de cet ouvrage, me paraît aujourd’hui inacceptable. [...] La ville, au contraire, peut rajeunir ou même ressusciter. Surtout, alors que l’homme commence par être enfant, beaucoup de villes n’ont pas eu d’enfance, sont apparues du premier coup en pleine force, en possession de tous leurs moyens, comme Athéna jaillit toute armée du cerveau de Zeus : ce sont les villes créées, dont les théories fatalistes ignorent l’existence et nient même implicitement le principe.