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Son frère, Geoffroy de Surgères, se rendit coupable de meurtre sur la personne d’un de ses frères, Simon Maingot. Des circonstances atténuantes, dont parle Louis Vialart, lui valurent du roi de France, Philippe-Auguste, une condamnation indulgente: il perdit le nom de Surgères et fut obligé de prendre celui des Granges pour lui et ses descendants. Louis Vialart, quatre siècles après, fait remarquer à son élève, issu de la lignée de Geofroy Maingot des Granges, le déshonneur que la sentence méritée par son ancêtre jette sur sa maison.

En 1221, un acte notarié nous révèle les noms des notables de la région surgérienne: Aléard de Charcogné, le chevalier Girard de Marencennes, le prieur de Saint-Gilles, le prieur de Notre-Dame de Surgères, Guillaume IV, sire de Surgères.

A cette même époque, Guillaume Maingot cède les droits de pâturage qu’il a, sur les marais d’Aigrefeuille, aux religieux d’Argenton.

Guillaume Maingot épouse Berthomée d’Allemagne. Il eut trois fils et deux filles. Guillaume Maingot le cinquième du nom, Geoffroy de Surgères mort avant 1221, Hugues de Surgères, chevalier, sire d’Azay, qui accorda 15 sois de rente aux religieuses d’Argentan pour entretenir une lampe allumée devant le tombeau de son père.

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