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3e CONTROLE, COOLSCAMP, 100 kilom. La foule a envahi les abords du contrôle à l’arrivée du Lieutenant LEMERCIER du 4e régiment d’artillerie belge (en 4 h. 59 m. 50 s.)


D’un autre côté, quelle connaissance possédait-on de l’entraînement et des allures à adopter pour effectuer le trajet en un minimum de temps? Il faut bien le reconnaître, on errait dans l’inconnu.

Si cette question de l’entraînement, et des allures avait été abordée et traitée longuement pour des épreuves de fond, comme Berlin-Vienne, et pour des étapes effectuées par des cavaliers isolés, sans esprit de lutte et sans que le facteur vitesse intervînt, d’une façon prépondérante, jamais l’étude approfondie de ces points n’avait été faite, ou du moins, ne nous était parvenue à l’occasion de luttes similaires à celle qui allait être tentée. Ni la course du 27 février 1894 (106 kil.), courue par les officiers de la garde de Russie, ni celle de 150 kilomètres, disputée le 11 août 1895, ni même l’épreuve italienne des officiers du 5e corps d’armée (156 kil.), n’avaient fourni de bases sérieuses pour la résolution de ce problème difficile; seuls le capitaine Smith Kielland, qui avait pris part à la seconde de ces courses et le lieutenant Silfversward, le recordman des 100 kilomètres, possédaient certaines données, acquises d’expérience personnelle.

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