Читать книгу L'Académie nationale des sciences, belles-lettres et arts de Lyon: 1700-1900. Le deuxième Centenaire de L'Académie онлайн

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L’œuvre ancienne des concours fut reprise; on demande alors des procédés pour extraire, fixer, aviver les couleurs que peuvent fournir les substances simples indigènes non encore connues en teinture.

En 1804, on met à l’étude la cause des atterrissements de la rive occidentale du Rhône à Lyon, les moyens de les détruire et de les empêcher à l’avenir.

En 1807, l’Académie est consultée sur la nature des pierres à recommander pour le pavage de la ville; on demande les pavés plats en granit au lieu des galets ronds. On demande aussi la réfection du nivellement des chaussées.

En 1811, on repropose la question des eaux potables, question déjà traitée par Ferregeau en 1775; on la remettra à l’étude en 1825; puis on la retirera.

En 18 19, on met au concours l’étude des émanations insalubres dégagées des marais et de l’infection de l’air.

En 1822 et 1823, on repropose la question du décreusage de la soie.

En 1827, on donne en sujet la mise de la Guillotière à l’abri des inondations.

En 1829, l’Académie étudia la réfection de l’éclairage de la ville; elle propose une usine à gaz, des gazomètres, un réseau de conduites; mais une Compagnie se forma alors pour entreprendre ces travaux.

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