Читать книгу L'Académie nationale des sciences, belles-lettres et arts de Lyon: 1700-1900. Le deuxième Centenaire de L'Académie онлайн

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En 1778, on mit au concours des questions de travaux publics: le moyen de garantir les canaux et leurs écluses de tout atterrissement de sable ou de gravier.

En 1780, on demande les moyens les moins dispendieux et les plus durables d’entretenir le pavage de la ville de Lyon.

En 1784, on met en discussion le parallèle entre les voûtes surbaissées et les voûtes en plein-cintre.

En 1785, on met à l’étude la direction des aérostats.

En 1793, on propose de propager les manufactures de lainages pour parer aux chômages des autres industries.

En 1794, on propose la description géographique et minéralogique du département de Rhône-et-Loire.

On revient encore sur la question des moulins, et on demande les moyens les plus sûrs et les moins dispendieux de mettre les moulins et autres usines sur rivières à l’abri des interruptions pendant les gelées (1793).

Lors du rétablissement de l’Académie en 1800, le prince Lebrun, troisième consul, lui offrit un prix de 1000 francs. que la Compagnie décida d’employer en récompenses ou encouragements aux inventeurs de quelque procédé utile aux manufactures lyonnaises.

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