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Le général de ROSENBERG, longtemps grand-maître de la cavalerie d’outre-Rhin, s’exprime ainsi en traitant la nécessité du sport pour les cavaliers militaires:

«Comme nous n’avons pas la guerre en perma-

»nence, nos manœuvres et nos exercices ne peu-

» vent suffire à nos officiers; il faut donc pendant la

» paix, trouver une compensation au point de vue de

» l’emploi du cheval: ce sera la chasse et les

» courses. C’est là que nous pourrons récolter le fruit

» de notre travail et du degré de préparation de nos

» chevaux. Aussi peut-on difficilement s’imaginer,

» qu’il y ait des esprits assez obtus pour condamner

» cette équitation d’extérieur pour le cavalier mili-

»taire; notre élément, c’est la vitesse et la mobilité,

» même à travers les terrains les plus difficiles. On

» ne peut nier que cela soit la même chose en course

» et en chasse.

» Que deviendrait une cavalerie dont les jeunes

» officiers ne pourraient monter à cheval que dans

» le service, au manège, et sur le terrain de manœu-

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