Читать книгу Mercados del lujo, mercados del arte. El gusto de las elites mediterráneas en los siglos CIV y XV онлайн
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Abandonnant la spécificité de l’art pour l’intégrer dans un ensemble beaucoup plus vaste, celui de la consommation de luxe, et voulant retracer l’histoire de l’acte de consommer comme un processus interactif entre le consommateur et l’objet désiré, il propose une approche qui ne souhaite pas s’intégrer dans l’histoire de la Renaissance ou de son art, ni même du marché de l’art pris dans le sens traditionnel du rapport entre l’artiste et son commanditaire ou mécène, mais décide de partir de l’objet, de la richesse; il reprend le terme d’accumulation des richesses par les élites, qui ne va pas sans rappeler l’embarras des richesses d’un Schama. Puis, il évoque les modes de consommation et la culture matérielle de l’Église et des laïcs, la richesse est davantage évoquée dans ses propos que le luxe est pourtant il est omniprésent dans son évocation de la consommation des élites italiennes.
Flandres, Pays Bas et Italie ont trouvé leurs historiens du luxe et de la consommation d’art, peut-on en dire autant de cet autre marché de l’art que nous évoquerons ici? Tout à fait, la richesse des journées de Valence et de Toulouse a mis en avant le nombre et la qualité des chercheurs susceptibles de répondre à ces interrogations.