Читать книгу L'Académie nationale des sciences, belles-lettres et arts de Lyon. Compte rendu, discours, mémoires divers онлайн

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Ce fut surtout vers le milieu du siècle, à partir de 1840, que l’Académie atteignit son plus haut point de prospérité.

C’était une belle période que celle où l’on pouvait citer dans la classe des Sciences les noms de Bravais, de Fournet, d’Amédée Bonnet, de Pétrequin, de B. Teissier, de Jourdan, de Mulsant, de Rollet; ceux de Laprade, de Bouillier, de Bl. Saint-Bonnet, de Gilardin, de Soulary, des Tisseur, d’Allmer dans la classe des Lettres; ceux de Saint-Jean, de Fabisch, de G. Bonnet, d’André, dans la section des Arts.

Parmi ces noms que je devrais multiplier si je voulais rendre hommage à ceux qui ont honoré l’Académie, il en est quelques-uns qui me paraissent devoir être mis en relief, parce qu’ils ne représentent pas seulement des gloires locales, mais qu’ils montrent avec quel éclat l’Académie a rayonné au dehors et quelle part elle a prise au mouvement général des idées et à notre gloire nationale.

Il y a un nom qu’on me permettra de saluer tout d’abord, parce que je suis plus à même d’apprécier sa valeur et les services qui s’y rattachent: c’est le nom d’Amédée Bonnet, ancien chirurgien en chef de l’Hôtel-Dieu, et professeur à l’Ecole de médecine.

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