Читать книгу Cheval de guerre tel qu'il nous le faut онлайн

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Après 1852, nous voyons à Saumur le général de Rochefort, une de nos gloires hippiques militaires, commandant l’Ecole et un éminent professeur, digne successeur du Commandant Rousselet, le Comte de Montigny, ancien élève du Vicomte d’Aure, ami personnel de Baucher et auteur de nombreux ouvrages très connus sur l’équitation.

En Novembre 1854, se passa à Saumur un fait qui mérite d’être relaté, car il fit beaucoup de bruit: Une écuyère ayant alors de nombreuses influences, et surtout très désireuse de voir sa méthode expérimentée et adoptée par l’Armée, Mme Marie Isabelle, vint à Saumur pour y démontrer ses principes de dressage. Ses cours, commencés le 14 Novembre 1854, se terminèrent par un fiasco complet en Avril 1855. Comme Baucher, cette écuyère se prétendit victime incomprise de préjugés surannés et d’une opposition malveillante.

Ne pouvant nous étendre davantage ici sur cette histoire, pourtant si intéressante de l’Ecole de Saumur, pour quiconque aime le cheval et l’équitation Française, nous arrivons immédiatement, après un bond énorme, à l’époque contemporaine où nous voyons briller à la tête de cette Ecole, lès généraux Thornton, de Galiffet, L’Hotte, de Lignières, habilement secondés par des écuyers en chef tels que MM. Duthil, Piétu, de Belle-garde, de Piolant et de Canisy, ayant eux-mêmes sous leur direction des écuyers et sous-écuyers aussi hardis cavaliers qu’éminents professeurs comme MM. de Néxon, de Sesmaisons, de Vaulogé, de Cahouet, de Lur Saluces, Sieyès, Mallet, de Gontaut-Biron, Le Moine des Mares, Charlerie de la Masselière, Jochaud du Plessis, Doynel de Quincey, de Contades, devenu lui-même écuyer en chef, et tant d’autres qu’il serait trop long de nommer ici.

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