Читать книгу Constance de Salm y la modernidad de su discurso feminista. Epístolas y otros escritos (1767-1845) онлайн

57 страница из 94

ssss1«Mais c’est dans la poésie qu’elle devait se faire cette brillante réputation qu’elle a acquise depuis. (…) ces premiers essais de mademoiselle Constance de Théis furent couronnés d’un plein succès, et suivis de quelques autres pièces de vers, parmi lesquelles nous pourrons citer la fameuse romance de Bouton de rose, ils engagèrent l’auteur à persévérer dans la route qu’elle s’était tracée. Pendant plusieurs années, jusqu’en 1789, mademoiselle de Théis continua à faire paraître un grand nombre de poésies, toutes empreintes de cette candide juvénilité de sentiments qui n’appartient qu’aux premières années de l’être pensant, et dans lesquelles cependant, déjà on trouve cette force de style et ces hautes pensées philosophiques qui sont le caractère distinctif de ses écrits» (Tisseron, 1845: 4).

ssss1Los biógrafos de Constance de Salm no suelen detenerse en la figura de su primer marido, Jean-Baptiste Pipelet (1759-1823). Con todo, la Nueva Biografía de los contemporáneos (Biographie nouvellle des contemporains) le dedica una entrada en la que se reconoce su carrera en medicina, en línea con la de su padre: «Pipelet (Jean-Baptiste), doctor en medicina, nació en París el 6 de septiembre de 1759. (…) Hijo de un padre justamente célebre y director de la academia de cirugía, el señor Pipelet, tras haber aprobado la abogacía, se libró al estudio de la anatomía y de la cirugía. (…) Desempeñó durante una larga temporada las funciones de cirujano del rey en Châtelet y allí dio pruebas de su instrucción en medicina legal. Fue sucesivamente cirujano herniario de la familia real, miembro de la academia de medicina de París y de varias sociedades sabias. (…) En 1813, por una serie de circunstancias particulares, se instaló en Tours, donde murió el 13 de diciembre de 1823 a los 64 años de edad» («Pipelet (Jean-Baptiste), docteur en médecine, naquit à Paris, le 6 septembre 1759. (…) Issu d’un père justement célèbre et directeur de l’académie de chirurgie, M. Pipelet, après avoir été reçu avocat, se livra à l’étude de l’anatomie et de la chirurgie. (…) Long-temps il remplit les fonctions de chirurgien du roi au Châtelet, et y donna des preuves de son instruction en médecine légale. Il fut reçu successivement chirurgien herniaire de la famille royale, membre de l’académie de médecine de Paris, et de plusieurs autres sociétés savantes. (…) En 1813, par suite de circonstances particulières, M. Pipelet s’était fixé à Tours, où il mourut le 13 décembre 1823, dans la 64e année de son âge») (Arnault, 1825, Tomo XVIII: 448-449).

Правообладателям