Читать книгу Constance de Salm y la modernidad de su discurso feminista. Epístolas y otros escritos (1767-1845) онлайн

92 страница из 94

ssss1«Jusqu’au dernier moment elle a conservé toute la force de son esprit, de son talent, et surtout l’ardent amour du travail qui fut le besoin de toute sa vie. Elle ne vivait en effet que pour l’étude, les siens et ses amis. C’est presque au milieu d’eux qu’elle est morte à Paris, après une maladie de trois jours, le 13 avril 1845, âgée de 78 ans (…)» (Barbier, 1847: 7).

ssss1Este poema se recoge en el segundo tomo de las Obras completas de Constance de Salm. En La Francia literaria (La France littéraire) de Quérard se indica la fecha de publicación de esta composición: «Estancias: Moriré como he vivido. París, tipogr. de F. Didot hnos. y Cía, 1837 (…). Estas estancias, posteriores a la publicación de la última edición de las poesías de la autora, publicadas en 1835, no forman parte de ellas: todos cuantos conocían a la princesa de Salm las han acogido con diligencia. En ellas pinta libremente y a grandes rasgos su carácter y sus opiniones. Son de alguna manera la profesión de fe de su autora» («Stances: Je mourrai comme j’ai vécu. Paris, typogr. de F. Didot fr. et Cie, 1837 (…). Ces stances postérieures à la publication de la dernière édition des poésies de l’auteur, publiées en 1835, n’en font point partie: elles ont été accueillies avec empressement par tous ceux qui connaissent la princesse de Salm, qui y peint librement, et à grands traits, son caractère et ses opinions, et dont elles sont, en quelque sorte, la profession de foi») (Quérard, 1836, Tomo VIII: 417).

Правообладателям