Читать книгу Constance de Salm y la modernidad de su discurso feminista. Epístolas y otros escritos (1767-1845) онлайн

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ssss1La reproducción del texto de la Gaceta oficial de Berlín, de 29 de julio de 1820, se recoge en la siguiente página web: <http://leperelachaise.canalblog.com/archives/2013/05/18/27186623.html>: «Un aide de camp du prince de Salm-Dyck, nommé Althof, âgé de vingt-sept ans, avait reçu l’ordre de quitter le service du prince pour des propos inconvenants tenus envers la défunte qu’il avait poursuivie de ses assiduités devant témoins et à laquelle il avait réclamé de l’argent. Sans parvenir à ses fins. Le 14 juin, sous prétexte de maladie, il refusa d’assister aux exercices de la Landwehr. Alléguant qu’il voulait prendre congé de la famille du prince, il se fit conduire par une dame de compagnie jusqu’à l’appartement de la baronne de Francq, fille de la princesse de Salm-Dyck, veuve d’un officier d’état-major français (…), mère de trois jeunes enfants dont elle prenait grand soin et une personne de mœurs irréprochables. La dame de compagnie témoin de la scène du meurtre rapporte qu’Althof lui reprocha dès son entrée d’être la cause de son renvoi tandis qu’elle aurait pu faire son bonheur par un seul mot (sic). La baronne lui reprocha de tenir pareil langage, lui dit qu’elle n’avait pas d’argent, trois enfants à élever et qu’il ne saurait être question de mariage. Althof sortit alors un pistolet de sa poche, visa la tête de la baronne qui s’écroula dans les bras de sa dame de compagnie. L’assassin se tira immédiatement une balle dans la bouche.»

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