Читать книгу Constance de Salm y la modernidad de su discurso feminista. Epístolas y otros escritos (1767-1845) онлайн

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ssss1«Le représentant d’une illustre famille, devenue en quelque sorte française par d’éclatants services rendus à notre pays, donna son nom à la femme célèbre qui devait le porter si noblement; le prince de Salm Dyck, ami des lettres, cultivant les sciences avec distinction, trouva ainsi le bonheur dans une douce similitude de goûts, d’études et de penchants. Cette union rapprochait deux sortes de grandeur, se prêtant un mutuel appui (…)» (Pongerville, 1845, n.º 5: 223).

ssss1«Le Prince avait une instruction profonde et variée, un esprit charmant, une grâce parfaite, pour faire pardonner sa haute naissance à ceux qui n’avaient pour fortune que leur talent et leur mérite; ces qualités aimables et réciproques rapprochèrent ces deux êtres (…) qui, réunis, paraissaient nés l’un pour l’autre. Cette union que l’on peut nommer assortie donna pendant plus de quarante ans l’exemple d’un bonheur réel et complet» (Comte, 1857: 11).

ssss1«Jamais femme ne fut plus aimée, jamais mariage basé sur l’amour ne fut plus heureux. Cette union tendre et sainte n’eut pas un jour d’orage, et elle a duré plus de quarante-trois ans!» (Waldor, 1845).

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