Читать книгу Captius i senyors de captius a Eivissa. Una contribució al debat sobre l?esclavitud medieval (segles XIII-XVI) онлайн

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le facteur qui domine la demande sera donc lié à la répartition sexuelle des tâches ou, en d’autres termes, à une qualification particulière des femmes pour les travaux les plus demandés.ssss1

Per tant –continua l’antropòleg francès–,

en admettant que les sociétés esclavagistes, dont l’économie repose sur une répartition sexuelle du travail analogue à celle d’où proviennent les esclaves, destinent ceux-ci mêmes travaux, la demande pour des femmes sera d’emblée plus élevée que la demande pour des hommes.

Meillassoux recull aquesta observació de diversos autors que també havien centrat els seus estudis a diferents indrets d’Àfrica; únicament –afirma–, entre els nòmades del Sàhara era costum que les dones lliures quedaven exemptes de fer les feines que requerien de major esforç físic. Així, en general, es documenta que les dones realitzen una quantitat de treballs més variada que els homes i els dediquen major nombre d’hores al dia:

Non seulement les femmes pouvaient être considérées comme physiquement supérieures aux hommes, mais elles avaient cet avantage supplémentaire d’être plus dociles. Il n’y avait donc aucune raison, au contraire, pour que leur demande eût été moindre pour ces tâches pourtant réputées viriles.ssss1

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